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TITI NO BUROGGU
6 mars 2005

Pas si facile...



    Je suis revenu de Paris enfin...
    L'entretien s'est bien passé mais pour des raisons de superstition (futile, j'en conviens), je ne préfère rien dire.
    Quant au retour : épique ! La compagnie low cost easyJet préfère pratiquer des prix bas pour ne pas à avoir à fournir un service de haute qualité. Pourquoi je dis ça ? Et bien, trois heures de retard ! Voilà pourquoi ! Rien de plus énervant de devoir attendre dans la salle d'embarquement d'un aéroport sans avoir la moindre info. En effet, lors de mon enregistrement, l'hôtesse me dit que le vol aura deux heures de retard. Donc, en dépit de cette information, je décide quand même d'aller en salle d'embarquement. En plus, comme j'étais arrivé au début de l'embarquement, la salle n'était pas pleine, même chose pour le bar (les bars de la zone publique étaient noirs de monde).  Je disais donc : rien de plus énervant de devoir attendre dans la salle d'embarquement sans avoir la moindre info. A part l'hôtesse, rien. Ah oui, les écrans de contrôle qui annonçaient mon vol avaient gardé la mention suivante dans la colonne "Status" : "ON TIME" ! Non mais, franchement, dire qu'un vol est à l'heure alors que ça fait deux heure que tu attends, c'est se foutre de la gueule du monde non ?
    Pour conclure, je tiens à vous répéter le slogan marqué sur tous les "boarding passes" : "don't be late, we won't wait!". Ne serait-ce pas plutôt : "don't be late, you will wait! "  ou bien "be late, you won't wait!" ?

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